Les gazons amphibies des berges du lac ont été un argument fort pour créer la réserve naturelle en 2014.
Leur étendue et les espèces qui la composent (Elatine et Littorelle principalement) sont exceptionnelles à l’échelle de l’Auvergne.
Comme ils sont indicateurs d’une bonne qualité d’eau, le Parc met en place un suivi de 200 placettes localisés aléatoirement chaque année.
Sur chaque placette, on note les plantes présente et leur recouvrement dans un cadre en fer de 50 cm x 50 cm.
On peut ainsi comparer statistiquement l’évolution de ces végétations année après année.
En 2019, du fait de la sécheresse, l’assec prolongé a provoqué la colonisation d’espèces banales. A surveiller donc…